top of page

Acupuncteur et acupuncture

Dernière trouvaille chez les acuponcteurs, faire des saignées au bout des doigts. On pourrait presque se croire dans le film « retour dans le futur » à l'époque où la médecine moderne ne proposait que des saignées comme traitement. Il est incroyable que des individus pratiquant l'acupuncture puissent avoir de telles idées, voire pire qu'on les laisse agir. Cette pratique entraîne des conséquences néfastes pour plusieurs raisons :1) Bien que cette technique ne soit qu'une adaptation de la pratique de l'énergie par un magnétiseur, il est tout de même impératif de respecter un minimum de protocole. Le magnétiseur et l'acupuncteur ont pour mission de réparer, stimuler, calmer et régénérer le corps énergétique. En aucune façon, ils ne doivent retirer du sang ou en ajouter, faire des injections dans les vaisseaux sanguins, etc.

2) Certaines de ces personnes ne savent même pas qu'il est déconseillé de toucher les extrémités des index et des pouces. Pourtant, même les diabétiques qui sont contraints de se piquer le bout des doigts le savent.

3) Il est primordial de ne pas sous-estimer le risque d'infection. Ces individus, dont l'hygiène est douteuse, se contentent de poser un coton non stérilisé sans aucune désinfection sur la coupure.

Est-ce que les aiguilles peuvent être remplacées par des aiguilles jetables ?

Les aiguilles ne doivent pas être jetables, mais elles doivent être en or ou en argent, en fonction de la nécessité de ralentir ou d'accélérer les énergies et de dériver ou de réparer les circuits.

Certaines personnes peuvent affirmer que cela est impossible en raison de problèmes d'hygiène et de désinfection. Est-ce que vous pensez sérieusement que le dentiste ou le chirurgien jette son matériel après chaque intervention ?

Étude sur l'efficacité de l'acupuncture

Une étude, publiée en 2007 dans "The Journal of the American Medical Association", a été menée sur 1.132 patients divisés en trois groupes. Dans le premier, ils étaient traités par acupuncture traditionnelle. Dans le deuxième, on simulait : les aiguilles étaient enfoncées à une profondeur insuffisante au niveau de la zone douloureuse et non là où elles sont censées agir. Le troisième recevait des médicaments antidouleur ou des anti-inflammatoires et de la kinésithérapie. Six mois après, l'efficacité était respectivement de 47,60 %, 44,20 % et 27,40 %. Le simple fait d'avoir recours à la pose d'aiguilles déclencherait un mécanisme modifiant l'origine, la transmission et la perception de la douleur.


Site en remaniement, merci de votre compréhension.


bottom of page