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Magnétiseur Covid-19 ou maladie à coronavirus

Virus grippe ou chimère nocebo #virusgrippe

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Nouvelles informations sur la COVID-19

 

Quand faire un test antigénique pour la COVID-19 ?

Une fois de plus, j’ai raison. Il est juste dommageable que l’eau doive couler sous le pont avant de prendre mes propos en considération. Les choses s’arrangeront lorsque j’aurai reçu un prix Nobel.

C’est au bout de quatre jours après les premiers symptômes que la charge virale est à son maximum. Faire les tests trop tôt peut suggérer un manque d’efficacité des tests. Le plus ennuyeux est que le maximum de contagiosité concorde avec le pic de charge virale.

« Les virus qui mutent beaucoup, tels les COVID et VIH, rendent, à plus ou moins court terme, l'efficacité vaccinale temporaire. » Nouvel échec vaccinal contre le virus du sida. Cela fait 30 ans que toutes les tentatives de vaccin contre le VIH ont échoué. Le dernier échec est celui de Johnson Johnson qui utilise une technologie identique à celle employée pour son vaccin contre la COVID. Après 2 ans de recul, ils savent que la protection n'est que de 25%. (2021)

Contre la Covid-19, il y aurait une alternative à la vaccination, plus rapide à développer et plus simple à mettre en œuvre : le leurre.

Le principe : faire fixer le virus sur des leurres dont il ne peut plus se libérer, ce qui l'empêche d’infecter des cellules. Par la suite, il est éliminé naturellement par l'organisme.

Ces leurres sont des petites protéines (peptides) qui miment l’ACE2. Elles ne suscitent pas de réactions immunitaires et ne sont pas toxiques biologiquement. 

La COVID-19 a pour elles une plus forte affinité qu'avec les cellules humaines.

Leur administration pourrait se faire à titre préventif sous forme de spray nasal et thérapeutique via des tablettes sublinguales qui tapisseraient les muqueuses des voies aériennes supérieures.

Vaccins « ancienne génération »

Vaccin à adénovirus

Comment distinguer la Covid-19 et la grippe

Pour ou contre le port du masque systématique à l'accouchement ?

La situation hors-norme de cette multitude de candidats vaccins à l'étude augmente les besoins de volontaires pour tester la tolérance et l'efficacité de ces vaccins. Jusqu’à présent, aucune des études cliniques entamées n'a eu recours à des patients français.

Depuis jeudi 1/10/2020, tout français adulte qui le souhaite peut s'inscrire en ligne pour participer à des essais cliniques de phase 2 et 3 sur la plateforme https://www.covireivac.fr. Il n'y a pas de limite d'âge ni de prérequis en matière de santé. Le but, au contraire, est de recruter des profils variés surtout vulnérables au coronavirus. Même les personnes ayant déjà eu la Covid-19 peuvent également participer. Les volontaires des régions les plus touchées seront vraisemblablement privilégiés, car il faut qu'ils soient exposés au virus dans leur quotidien pour mesurer l'efficacité du vaccin.

Comme toujours, les participants aux essais n'ont pas l'assurance de recevoir les vaccins. Certains auront des injections de placebo sans le signaler pour éviter les biais d'interprétation, ce sont des individus contrôle. Quant au risque encouru …

Le but est d'identifier plusieurs milliers de volontaires, recevant une indemnité pour les dédommager du temps et des contraintes subies affin de réaliser :

  • 5 essais de phase 2 avec une centaine de participants chacun. Elles visent à estimer la dose optimale de traitement, mesurer la réponse immunitaire et vérifier l'innocuité de l'injection ;

 

  • 3 essais de phase 3 avec des milliers d'individus. Ils évaluent la protection du vaccin dans la vie réelle. Dernière étape avant la demande de mise sur le marché.

 

Les premiers essais devraient débuter en France début 2021. L'enjeu de l'initiative est double : ils permettent aux scientifiques hexagonaux de rester dans la course et de faire avancer la recherche internationale.

24 centres d'investigation clinique seront répartis sur le territoire. Ils accueilleront les volontaires pour les injections et le suivi médical d'accompagnement.

Liste de questions et réponses sur la Covid

Inflammation vasculaire 2 théories :

Covid-19, la piste des anticorps monoclonaux

L'intensité de la pandémie bat son plein en Amérique latine et semble rebondir en Asie.

Une question est de premier plan : Combien de temps l'immunité conférée aux 8 millions (8.884.000) de personnes qui, dans le monde, ont à ce jour (21 juin 02020) survécu après avoir contacté le Covid-19 (465.000 sont décédés dans 196 pays et territoires) va-t-elle durer ? Peuvent-elles être contaminées de nouveau ? Si la réponse est non, comment rendre un vaccin rentable ?

 

 

Comment fonctionne l’immunité ?

L'immunité se composent de 2 grandes catégories :

1) L’innée est la première ligne de défense de l'organisme composé des barrières physiques qui sont :

  • la peau et les muqueuses ;

  • le mucus et les sécrétions ;

  • les globules blanc neutrophile et les macrophages - nos cellules fantassins ;

  • les cytokines stimulent les défenses immunitaires.

 

2) L’adaptative Dont le rôle est de protéger l'organisme au cas où un organisme l’attaque de nouveau. Elle se compose de 2 formes qui se complètent :

  • l'humorale produit des immunoglobulines (anticorps) qui neutralisent l’infection au moyen des lymphocytes B ;

  • la cellulaire utilise les lymphocytes T qui se composent de CD8+ (leur travail détruire les cellules infectées) et de CD4+ pour coordonner et diriger les attaques des CD8+.

 

 

Quelle est la durée de l’immunité ?

La durée de l'immunité adaptative après infection par un coronavirus est très variable.

Pour la pandémie du Sras-CoV, en 2002-2004, très agressive, mais heureusement de faible ampleur, on dénombre 8096 infectés dans 30 pays et 774 décès. Les anticorps des survivants ont persisté environ 3 ans. En revanche, les anticorps liés aux coronavirus responsables de rhumes bénins persistent seulement quelques mois.

 

Dans le cas du Covid-19, les anticorps deviendraient faiblement neutralisants après un délai de 3 semaines à 3 mois.

 

Les tests sérologiques ne concernent que la présence ou non d'anticorps (immunité humorale). Ces tests ont beaucoup de faux négatifs, donc leur fiabilité est loin d'être parfaite.

 

Y a-t-il l’espoir d’une fin de l’épidémie Covid-19 ?

 

Une bonne nouvelle serait l'existence de immunités croisées : Des infections anciennes à coronavirus de type simples rhumes auraient la capacité de protéger une part non négligeable de la population contre le Covid-19. Il y aurait une immunité de groupe atteinte plus rapidement que prévu provoquant la fin de l’épidémie. Cela grâce à la présence de CD8+ et CD4+ dirigées contre la protéine Spike. Le virus utilise cette protéine pour rentrer dans les cellules.

 

 

Quels sont les risques de recontamination au Covid-19 ?

 

En ce moment on parle fréquemment du risque de recontamination à court terme, mais aucune preuve tangible ne soutient pour l'instant cette idée.

 

Est-ce que le Covid-19 peut rester dans l’organisme ?

Les virus qui peuvent rester latents dans l'organisme dans les réservoirs cellulaires sont des virus à ADN, alors que le Covid-19 est un virus à ARN, la réponse est non.

 

Quelle est la cible du Covid-19 ?

 

Le virus cible le récepteur ACE2 pour pénétrer dans les cellules humaines. Il a été identifié 14 anticorps qui neutralisent ce récepteur, le BD-368-2 serait le plus puissant. Des études vont débuter chez l'homme. Cet anticorps monoclonal pourrait être disponible dès l'hiver prochain et être donné à titre préventif et curatif 

 

 

Quel traitement contre le Covid-19 ?

 

L’anticorps monoclonal (BD-368-2) pourrait être disponible dès l'hiver prochain et être donné à titre préventif et curatif. Il pourrait être produit à grande échelle et permettre l’attente, dans un délai de 12 à 24 mois, d'un vaccin conférant une immunité cellulaire et humorale ou l’un des deux. Il y a également la technique de l’injection de plasma de personnes guéries qui n’est pas applicable partout, même si elle semble fonctionner.

Le virus mute-t-il ?

Depuis son émergence plus, de 30 mutations du virus ont été identifiés.

Les agents très contagieux tentent par ce processus naturel de se renforcer pour devenir plus résistants et plus agressifs lorsqu'ils se multiplient.

Leur comportement ne change que pour certaines mutations.

La mutation D614G augmenterait la contagiosité et la vitesse de reproduction du virus. Par sa progression, elle pourrait devenir la souche dominante. Elle touche la protéine Spike que le Sars-CoV-2 utilise pour infecter les cellules humaines.

 

Quelle sera l'efficacité du vaccin ?

 

Nous sommes en droit de nous inquiéter sur l'efficacité du vaccin pour 2021, car beaucoup de projets vaccinaux n’ont pris pour référence que la souche initiale de Wuhan et ont estimé que la mutation Sars-CoV-2 était peu probable à court terme.

Est-ce que la pandémie s’étend ?

En Europe elle faiblit, mais alors que le nombre de nouveaux cas dans le monde était de 100.000 deux mois après le début de l’épidémie, nous sommes désormais à 100.000 nouveaux cas par jour.

Le continent africain très épargné jusque-là voit la propagation de la maladie principalement dans 3 pays : le Nigeria, le Soudan et l'Afrique du Sud.

Bombay et New Delhi sont des agglomérations très peuplées et ont des services de soins intensifs saturés. Les habitants des campagnes bloqués dans les villes ont été autorisés à retourner chez eux, ce qui a permis de diffuser le virus en milieu rural et dans les villes des états indiens traversés par ces trains spéciaux.

L’Inde recense 410.461 cas et 13.251 décès, si ces chiffres sont en forte augmentation, ils restent toutefois inférieurs à la France, alors que ce pays possède 1,4 milliard d'habitants.

L’épidémie aux États-Unis avec ses 2.311.345 cas et 121.609 décès : l'épidémie aurait franchi son pic et amorcerait une décroissance avec une baisse des décès journaliers, avec un déplacement de l’épicentre de New York vers les états du sud, de l'ouest et du centre.

 

En revanche, en Amérique Latine et principalement au Brésil la situation est très préoccupante où la population n'est pas confinée et les communiqués sur les décès sont occasionnels.

 

 

Y a-t-il un risque d'une seconde vague ?

Il y a eu 3 rebonds où l'épidémie était déjà passée : début mai à Singapour pour des ouvriers du bâtiment, fin mai à Séoul pour une centaine de personnes contaminée dans une boîte de nuit et le dernier à Pékin où 158 personnes ont été infectées au marché de gros de Xin Fadi.

Le danger vient des sujets asymptomatiques qui sont difficilement détectables.

Nombreux sont ceux qui pensent que d'ici à l'automne et l'hiver prochain d'autres rebonds surviendront, alors pourquoi être aussi laxiste dans ce contexte ?

Covid-19 : travailleurs à risque

Le protocole de déconfinement qui a assoupli les règles sanitaires en entreprise prévoit que les personnes à risque de forme grave de Covid-19 peuvent rester en télétravail jusqu'au 31 août 2020. En cas impossibilité d’exercer leur profession à distance, elles bénéficient de la prolongation jusqu’à cette date du dispositif d'arrêt de travail simplifié.

Covid-19 : circulation sanguine.

Après les cellules des voies aériennes, le Sars-CoV-2 attaque particulièrement celle des vaisseaux.

Prise précoce ou non d'un anticoagulant ?

Il apparaît évident que les lésions vasculaires, artérielles et veineuses qu'il induit sont la source de formes graves et de cas mortels. Ces lésions entraînent des embolies pulmonaires ou la défaillance d'organe, cœur, cerveau et rein. La création de multiples microthromboses dans les vaisseaux pulmonaires empêche de nombreux patients d'être bien ventilés et décèdent.

Il a été observé des atteintes artérielles, aortiques, carotidiennes, cérébrales, rénales, digestives. Des sujets ayant des artères saines ont fait des infarctus du myocarde inhabituels à cause de thromboses coronaires, parfois avec complication d'insuffisance cardiaque cause de décès.

L'occlusion de vaisseaux millimétriques provoque des micro-engelures.

Une prévention par anticoagulant ne semble pas suffisante. Il pareil utile d'administrer en soin intensif une anticoagulation forte et non pas seulement préventive.

Pourquoi ces thromboses ?

Toute infection favorise la survenue de thrombose veineuse, mais le tropisme vasculaire du Sars-CoV-2 va bien au-delà. Le virus attaque directement les artères et les veines. Il cible spécifiquement les cellules dites endothéliales qui forment une couche en contact permanent avec le sang et qui réagit avec tous les éléments circulants.

Ces cellules sont équipées du récepteur ACE2 utilisé par le virus pour pénétrer dans les cellules humaines.
La période de charge virale dure 5 à 7 jours, et si la réaction immunologique de défense de l'organisme est trop violente, activation massive de cellules macrophages, cela crée des lésions majeures là où résident les virus dans les poumons et les vaisseaux notamment. Les cellules endothéliales endommagées engendrent des troubles plus ou moins diffus de la coagulation (thrombose). Cela concerne les vaisseaux de quelque calibre qu'ils soient et n'importe où dans l'organisme.

 

Inflammation vasculaire 2 théories :

  • La première, l'infection est d'abord pulmonaire et les thromboses ne sont qu'un mécanisme parmi d'autres. La preuve, cela n'est pas constant chez tous les malades ;

  • La deuxième, et la conclusion des autopsies sur patients décédés qui montrent une coagulation diffuse des petits vaisseaux artériels qui bordent les alvéoles pulmonaires, un endothélium partout abîmé où modifié. Dans ce cas, en début d'infection, la prise systématique d'un anticoagulant à dose préventive serait amplement justifiée.

 

Pourquoi des jeunes et des non jeunes refusent de porter le masque ?

Dans les 2 cas, c'est l'égoïsme qui les gouverne. Les plus jeunes pensent à tort qu'ils ne risquent rien, que leurs enfants ne risquaient rien non plus et que si des personnes plus âgées meurent de leurs fautes cela ne les dérangent pas du tout.  Quant aux plus âgés, ils partent du principe qu’ils ont bien vécu et tant qu’ils ne sont pas malades cela n'a pas d'importance et que leurs petits enfants ne risquent rien.

Il serait temps de faire preuve de sociabilité, responsabilité, respectabilité et fraternité envers les autres dans ce domaine comme d'ailleurs les autres, tout le monde serait en réalité gagnant. Les 2 informations qui vont suivre vont peut-être aider à faire les bons choix de comportement :

  • L’infection par les coronavirus saisonniers n’offre pas de protection contre l’infection par le virus Sars-CoV-2 et les autres maladies associées, comme le syndrome de la maladie de Kawasaki. Les enfants et les jeunes adultes ne sont pas protégés.

  • Même s'il est vrai que si dans un premier temps on a injecté des sédatifs mortels aux personnes d'un âge certain au profit de place pour les plus jeunes, que se passerait-il s'il y avait trop de jeunes adultes malades en même temps, est-ce que cela se passerait avec le système pile ou face ? pour éviter ce choix, il est peut-être temps de se respecter et de respecter les autres.

 

Des visons contaminés abattus aux Pays-Bas.

Dans 20 élevages, des cas de visons contaminés au Covid-19 conduisent à l'abattage de dizaines de milliers de ces mammifères. L’abattage des 12.000 dernières mères, de la dernière ferme, a eu lieu lundi 12/7/2020 et 2 employés d'élevage auraient contacté le Covid-19 via des visons.

 

Moins de médicaments contre le Covid-19.

Discovery et Solidarity (les essais cliniques européens) ont abandonné le traitement ritonavir/lopinavir suspecté d'effets indésirables et jugés inefficaces.

Les 2 essais ne portent maintenant que sur le remdesivir. Au sein de l'UE, la mise sur le marché conditionnelle vient d'être obtenue.

L’OMS a entériné l'abandon de l’hydroxychloroquine.

UV-C et Covid-19

Les rayons ultraviolets UV-C sont présents dans le rayonnement solaire et ont une longueur d'onde inférieure à la lumière visible. Ils sont nocifs pour la peau, mais heureusement filtrés par la couche d’ozone.

Ils tuent 90 à 99 % des bactéries et virus selon le temps d'exposition et la distance.

Les tests ont d'ailleurs démontré que, si le virus de la grippe est détruit avec des radiations de 6 mégajoules, le Covid-19 lui résiste à des radiations de 70 mégajoules.

La vente aux particuliers d’appareils à rayonnement UV-C est interdite.

Pour les professionnels, il y a par exemple le Deeplight (Deliled). Un robot qui coûte 2.000 € et qui élimine les microbes d’un lieu clos en 30 minutes pour une pièce de 20 m2.

 

51 tests ont été validés, la liste se trouve sur :

https://covid-19.sante.gouv.fr/tests, mais ils n'offrent pas tous la même finesse de détection et, pire, certains fabricants n’ont fait valider leurs tests qu'une seule fois, ne permettant pas un suivi de la qualité de la production industrielle. Leur prix d'achat varie de 5 à 12 €.

Les pharmacies, depuis le 11 juillet 2020, sont autorisées à réaliser des tests rapides d'orientation diagnostique (TROD). Ces tests sérologiques sont effectués à partir du prélèvement d'une goutte de sang mis en contact avec une bandelette contenant un antigène reconnaissant la présence d'anticorps contre le Covid. En quelques minutes, le résultat apparaît permettant de savoir si on a fabriqué des anticorps et indique une infection passée.

Si le test se révèle positif, la personne qui a été infectée par le Sars-CoV-2 sera invitée à se rendre dans un laboratoire de biologie médicale pour subir un test sérologique permettant de confirmer le résultat du Trod et une PCR, car il est important de savoir si elle est toujours porteuse du virus. Ces 2 derniers sont remboursés s'il y a prescription médicale.

Le prix du test Trod est entre 20 et 25 € non remboursé. Pour information, le prix pour un test complet en laboratoire est 45 €.

Outre le fait que ces tests génèrent un certain nombre de faux positifs, on pense qu'on a développé des anticorps, mais il n'en est rien et de faux négatifs, des anticorps que l'on possède ne sont pas détectés ; Il ne faut pas baisser la garde prématurément, même en cas de résultats positifs, car il est loin d'être certain que la protection immunitaire est efficace contre une réinfection. Et rien ne prouve que l'on ne puisse pas excréter à nouveau le virus même sans être soi-même malade.

 Le test de détection rapide (TDR) réalisé par un biologiste médical, le test rapide d'orientation diagnostique (TROD) réalisé par un autre professionnel de santé dans son officine ou à son cabinet et l’autotest fait par le patient lui-même (interdit à la vente par la haute autorité de santé !) sont des produits identiques à part d'éventuels changements subtils de design.

Bonne nouvelle :

 

L'encadrement des prix des masques à usage unique ainsi que des gels et solutions hydroalcooliques est prolongé jusqu'au 10 janvier 2021, alors qu'il devait initialement expirer avec la fin de l'état d'urgence sanitaire.  

Maladie professionnelle et Covid-19

La reconnaissance en maladie professionnelle permet une prise en charge des soins à 100 %, mais également une prise en charge plus favorable des indemnités journalières, ainsi que de l'indemnité rente où capital en cas d'incapacité permanente et enfin s'ajoute une rente versée aux ayants droit en cas de décès.

Procédures facilitées : tous les soignants des établissements médicosociaux et sanitaires, les personnels non soignants travaillant en présentiel dans ces structures ainsi que les personnes assurant l'accompagnement et le transport des malades et les professionnels de santé libéraux atteints d'une forme sévère de COVID-19 (nécessité d'une oxygénothérapie) verront leur maladie automatiquement et systématiquement reconnue comme une maladie professionnelle.

Pour les non soignants, la reconnaissance sera facilitée, les comités régionaux seront remplacés par un comité unique de reconnaissance nationale dédiée au Covid-19 et assurera l’homogénéité du traitement des demandes. Aucun taux d'incapacité permanente ne sera exigé dans le cadre de cette procédure simplifiée.

Premier cas de contamination intra-utérine

Le premier cas confirmé de contamination intra-utérine au Covid-19 est arrivée en mars 2020. Le nouveau-né de sexe masculin souffrait de symptômes neurologiques associée au Covid-19.

Cela peut se produire par la transmission de la mère au fœtus via le placenta dans les dernières semaines de grossesse mais cela est très rare.

Pas plus de 2% d'enfants nés de mères souffrant du Covid-19 ont été testés positifs au virus et encore moins ont développé des symptômes graves.

 

L’anosmie

Il est connu que la perte de l'odorat peut être liée à des infections respiratoires virales.

Les mécanismes ne sont pas encore très clairs : un gonflement de la muqueuse nasale fermerait la feinte olfactive bloquant la transmission des odeurs au cerveau ; le virus envahirait le système nerveux central et le bulbe olfactif (des IRM auraient montré des atteintes de ce bulbe olfactif) ; le virus pourrait ne pas infecter directement les neurones olfactifs, mais des cellules de soutien riches en récepteurs ACE2 provoquant une perte massive de neurones olfactifs.

50 % des patients récupèrent leur odorat dans les 15 jours, 35 % dans les 2 mois et 15 % pour lesquels c'est plus long.

Des cellules souches, présentes dans le nez, permettent aux neurones olfactifs de se régénérer, mais pour un fonctionnement optimal ils ont besoin d'une rééducation olfactive. Il suffit de respirer 7 odeurs simples et différentes 3 fois par jour.

Il est probable que cette réaction inflammatoire intense provoquant la perte d’odorat soit une réponse de l'organisme pour empêcher le virus de se répandre dans le reste de l'organisme et protéger ainsi les poumons. Ceci expliquerait pourquoi dans les formes sévères, voire critiques (syndrome de détresse respiratoire aiguë), seulement 7 % des patients ont une anosmie. Pour les formes modérées (pneumonies), on en trouve 4,5 % et pour les formes légères le pourcentage décolle à 85 %.

Porter des lunettes de vue protège-t-il du Covid-19 ?

Le port de lunettes est un petit plus.

Il y a 2 voies potentielles d'infection par les yeux :

  • La voie conjonctivale. On sait que dans la conjonctive, la muqueuse oculaire, il y a des récepteurs pour le virus.

 

  •  La voie lacrymale. Lorsque les larmes contaminées s'écoulent dans les fosses nasales, elles affectent les voies respiratoires.

 

10 % des patients atteints de la Covid-19 présenteraient des manifestations oculaires de la maladie (conjonctivite).

 

Les protections oculaires : les lunettes, les visières ou les écrans faciaux ont un double rôle, elles protègent des gouttelettes infectieuses et elles empêchent leurs porteurs de se toucher les yeux (ce geste est reproduit inconsciemment une dizaine de fois par heure).

Il est recommandé de porter des lunettes de protection qui sont beaucoup plus larges que les lunettes de vue qui ne suffisent pas.

Cette voie de contamination restant secondaire, il faut mettre des lunettes de protection lorsque cela est utile sans les porter tout le temps.

Les tests antigéniques rapides permettent de livrer un résultat en moins de 30 minutes. (Prix : 10 €)

En recherchant une protéine du virus, ils sont bien adaptés au dépistage de masse et permettent de faire le tri dans la population entre les sujets négatifs ou peu contagieux et les sujets très contagieux qu’ils identifient.

Question : des trois tests les mieux évalués par l’AP-HP, deux sont de PME françaises, la firme AAZ, et Biosynex, le troisième, est du groupe américain Abbott. Où Olivier Véran, ministre de la Santé, a-t-il acheté 5 millions de tests antigéniques le jeudi 17 septembre ?   

Ces tests ne sont pas assez performants pour se substituer au test virologique PCR.

Ils pourraient faire rater 50 % des personnes positives à la Covid, car leur sensibilité est de l'ordre de 80 % chez les personnes ayant des symptômes depuis moins de 3 jours. Cette sensibilité tombe à 60 % au-delà de 3 jours et à 40 % seulement après 8 à 10 jours.

La sensibilité est la probabilité d'obtenir un test positif quand la personne est malade, c'est ce qui indique son aptitude à identifier l'agent viral.

Il ne faut pas confondre la sensibilité avec la spécificité d'un test qui est sa capacité à distinguer, dans ce cas présent, le Sars-CoV-2 avec un autre virus (95 % sont l’exigence de la norme française).

Le test antigénique requiert un prélèvement des cellules par écouvillonnage naso-pharyngé comme pour la PCR. Il identifie la capside du virus, la structure protéique qui entourent l’ARN, au lieu d'identifier le virus par la présence de cet acide nucléique.

Roche Diagnostic a un test PCR qui permet de détecter simultanément aussi bien le Sars-CoV-2 que les virus de la grippe A ou B, en 15 minutes.

La Haute Autorité de santé a élargi aux personnes asymptomatiques, (après sa première autorisation pour les patients symptomatiques), l'autorisation des prélèvements par un écouvillon au fond de la gorge (oropharyngé), pris 37 €.

Encore une confusion : alors qu'un arrêté publié au journal officiel le 16/9/2020 stipule :

  • le test antigénique est prescrit seulement pour les personnes asymptomatiques et les cas contacts ;

 

  • un résultat positif doit être confirmé par un test virologique.

 

La HAS précise :

  • le test est réservé aux personnes symptomatiques, présentant des signes d'une infection par un virus constaté par un médecin ;

 

  • qu'il n'est pas nécessaire de vérifier le résultat par un test PCR s’'il est réalisé par un établissement de santé ou un laboratoire de biologie médicale.

 

Prix du spectromètre pour analyser les échantillons : 20.000 €.

LC - Jeudi 24 septembre 2020

Comment distinguer la Covid-19 et la grippe

La perte d'odorat (l’anosmie) est « le » symptôme qui différencie certainement le mieux la Covid de la grippe ou du rhume.

La grippe a un schéma typique de fortes fièvres : pendant 3 jours, fièvre à 40° ; baisse de la fièvre pendant une journée ; puis, reprise de la fièvre à 40° pendant à nouveau 3 jours. De plus, la grippe donne plus fréquemment une forte fièvre.

L'absence de fièvre, de la toux, du nez qui coule, de maux de tête ou de gorge, de la fatigue fait plutôt pencher en faveur d'un rhume. La fièvre en cas de rhume dure généralement moins de 24h. Ne pas oublier qu'il est possible d'avoir la Covid sans avoir de fièvre.

Les éternuements sont plutôt le signe d'un rhume.

Les maux de tête paraissent un peu plus fréquents dans le cas de la Covid.

Les symptômes d'une respiration difficile, d'une diarrhée ou des douleurs musculaires laissent présager une grippe ou une Covid. Généralement, les bronches ne sont pas atteintes lors d'un rhume.

Ces informations n'ont pas pour but de poser un diagnostic.

Cette année, la vaccination contre la grippe sera inévitablement mise encore plus en avant. Une personne vaccinée (suivant son âge, …) aurait hypothétiquement 5 chances sur 10 de ne pas développer la grippe. Quel est le pourcentage pour une personne non vaccinée ?

Nous pouvons souhaiter que les gestes barrières, le port du masque et le lavage des mains (qui paraît nouveau pour certaines personnes) diminuent les infections hivernales.

Ne pas oublier : jusqu’à preuve du contraire, il faut considérer toute infection comme une infection Covid. Continuer à vivre normalement et se dire que ce n'est pas grave, c'est faire prendre un risque à la collectivité (santé et économique). Même en cas de grippe, s'isoler le temps des symptômes est utile pour ne pas participer à la propagation d'une maladie qui est également dangereuse.

Il est également possible de distinguer la grippe A ou B du Sars-CoV-2 au moyen d'un test PCR de Roche Diagnostic avec un résultat en 15 minutes.

Pour ou contre le port du masque systématique à l'accouchement ?

Des femmes, qui étaient gênées pour respirer avec le masque et qui réclamaient de le retirer, ont subi des situations d’affrontement avec des soignants leur imposant le port du masque.

Le Collège National des Gynécologues Obstétriciens de France (CNGOF), après un long débat interne, a publié un avis qui indique que pour les femmes asymptomatiques, le port du masque pendant l'accouchement reste recommandé en présence des soignants, mais ne peut être imposé.

Le port du masque peut favoriser la résurgence des traumatismes anciens dus à des violences sexuelles ou physiques.

La persistance du coronavirus sur les surfaces du quotidien.

La première chose à retenir : le coronavirus est éliminé en 15 secondes, après usage d'une solution hydroalcoolique à 80 %.

Quand la température baisse, la durée de vie de Sars-CoV-2 augmente.

Information importante pour ne pas stresser après la lecture de ce qui va suivre : les quantités détectées ne seraient certainement pas suffisantes pour affecter une personne, car si l'on se base sur les recherches effectuées sur le SRAS, les surfaces ne seraient plus contaminantes passé le délai de 14 jours maximum, en partant du principe qu’il faut quelques centaines de particules sur une surface pour qu'elle devienne contaminante.

De plus, toutes les expériences ont été réalisées avec une atmosphère à 50 % d'humidité et avec aucune lumière. Or, nous savons qu'une forte humidité dégrade le virus et l’absence de lumière évite les rayons UV qui détruisent également le virus.

Au bout de 28 jours, à 20°, il est toujours sur les surfaces d’inox, de verre, de vinyle, des billets de banque et du plastique. La seule matière épargnée est le coton, d'où l'importance de se laver les mains.

Il faut également garder en mémoire que le coronavirus résiste, en moyenne, 9h sur la peau dans une atmosphère à 50 % d'humidité et à 25°. Par comparaison, le virus de la grippe dans les mêmes circonstances tient 1h48’.

Vaccin à adénovirus

 

Cette technologie présente des risques :

  • il a été démontré que l'ADN du vecteur peut occasionnellement s’intégrer dans le génome de la cellule hôte de façon aléatoire.

Il ne peut être écarté qu'il interagisse alors avec certains de nos gènes et dérègle des mécanismes cellulaires.

Contrairement aux vaccins à ARN qui déposent des instructions génétiques dans l'espace cellulaire sans possibilité d'incorporation dans nos génomes pour être lus, les vaccins à adénovirus, quant à eux, injectent leurs instructions, sous forme d’ADN, dans le noyau des cellules.

  • les virus vecteurs dit inoffensifs peuvent quand même affecter des cellules où se trouve un dysfonctionnement et alors aggraver une maladie en cours ignorée ou non ;

 

  • les vaccins à adénovirus et à ARN utilisent un seul antigène vaccinal pour immuniser les personnes : la protéine Spike. C’est leur principal défaut face à un virus qui produit de nombreux variants. Il mute souvent en modifiant Spike en permanence.

Par exemple, le vaccin AstraZeneca est inefficace contre le variant sud-africain. Sa protection n'est que de 22 %. La raison est simple : Spike n'étant plus reconnu par notre immunité, le vaccin ne sert à rien.

Les 3 vaccins utilisant des adénovirus comme vecteur d'immunisation sont :

  • Astra Zeneca (université d’Oxford au Royaume-Uni). Une étude sur environ 17.000 personnes lui donne un taux de protection de 70 % ;

La vaccination du personnel soignant a été suspendue en raison d'effets indésirables trop nombreux et trop intenses dans les hôpitaux bretons du CHU de Brest, de Rennes et de Morlaix. 25 % des personnes vaccinées ont notamment eu des symptômes grippaux avec forte fièvre (39 degrés) entraînant des arrêts de travail pendant au minimum 24h.  

 

  • Spounik V de l'institut de recherche Gamaleya de Moscou sous l'égide des autorités russes. Une étude sur environ 20.000 personnes lui donne un taux de protection de 91,6 %. Avec des risques d’apparition des symptômes grippaux seulement dans 1 cas sur 500 vaccinés ;

 

  • Janssen Pharmaceutiqua, filiale du laboratoire américain Johnson et Johnson en Belgique. Une étude sur environ 43.000 personnes lui donne un taux de protection de 72 %. Avec des risques d’apparition des symptômes grippaux seulement dans 1 cas sur 500 vaccinés.

Ils sont loin des 94 % d’efficacité des vaccins à ARN. Toutefois, ils sont au-dessus des 50 % d'efficacité qui est le seuil exigé par les agences du médicament dans le monde.

Ils utilisent tous les trois des adénovirus inoffensifs qui servent à transporter une information génétique pour permettre de produire la protéine Spike du Sars-CoV-2. Cette protéine permettrait au système immunitaire d'identifier l'ennemi et de déclencher la réaction immunitaire nécessaire pour lutter contre lui.

Ces vaccins ont l'avantage d'avoir une logistique qui répond au besoin d'une vaccination rapide et large avec une conservation durable à des températures de 2 à 8 degrés (les vaccins à ARN ne se conservent que quelques jours après avoir été conservés et transportés à des températures de moins 20 degrés pour Moderna et de moins 70 degrés pour Pfizer).

Il ne sert à rien d'assurer une protection de 90 % contre un mutant et seulement de 20 % contre un autre mutant devenu dominant. Comme expliqué plus haut, Spike n'est plus reconnu par notre immunité. Au rythme actuel des mutations, aucune logistique nécessaire au procédé vaccinal ne pourra suivre et elle sera vite dépassée. Sans perdre de vue que les populations risquent de perdre le plaisir et la satisfaction des vaccinations répétées.

La solution serait peut-être de revenir aux vaccins « ancienne génération » produits à partir de virus entiers inactivés. Cela permettrait à notre système immunitaire d'identifier l'ensemble des protéines virales au lieu d'une seule qui est sans cesse modifiée, ce qui allongerait la durée d'immunisation, quelle que soit la modification de Spike.

Le vaccin CoronaVac (Sinopharm) est chinois et il est le seul vaccin de cette catégorie actuellement commercialisé dans le monde. Sur une étude de 50.000 personnes, les résultats obtenus sont : réduction du risque infectieux de 50,3 %, protégeant 70 % des vaccinés de l'infection et 100 % d'entre eux des formes graves.   

En outre, sa tolérance est très bonne. Il est sans danger, d'une efficacité suffisante et durable avec une logistique rapide et simple, en un mot : le rêve !

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L’OMS a reconnu, en août 2020, le syndrome Covid long. Ses caractéristiques sont très variées, plus ou moins intenses et durables. Les symptômes persistent au-delà de 2 mois ou resurgissent après une accalmie.

Même si certains de ces patients complexes ont été hospitalisés avec une Covid-19 sévère, la plupart n'ont eu que des formes légères. Ce sont des patients plutôt jeunes (36 à 51 ans), la plupart sportif. Il s'agit en majorité de femme et 50 % ont un terrain allergique. La majorité n'a pas la preuve de son infection initiale.

Tous décrivent des troubles variés touchant quasiment toutes les parties du corps. Il y a 50 manifestations différentes du syndrome. Dans un premier temps, ils ont été parfois soignés avec des antidépresseurs pour l’hypocondrie.

La fatigue représente 14 % des symptômes, la perte de l'odorat ou du goût 12 %, un essoufflement 9 %, une toux 6 % et des maux de tête 3 %. Il y a également des tremblements des membres, des mains glacées, des sensations de brûlure sur certaines parties du corps, des frissons, une perte de cheveux, des éruptions cutanées, des troubles digestifs, une fatigue extrême les clouant au lit, des troubles de la mémoire et des douleurs articulaires sans que les bilans ou examens d’imagerie révèlent une anomalie. Dans la majorité des cas, il n'y a pas trace de causes biologiques.

Il n'est pas rare que des signes cliniques tardifs apparaissent comme à la suite de l'épidémie de sars en 2003 et aussi après le chikungunya qui donne souvent dans son sillage des fièvres et des douleurs articulaires. Toutes les pathologies infectieuses peuvent donner lieu à des formes traînantes.

Pour l'heure, il n'y a aucune explication, seulement des pistes envisageables. Parmi elles : la persistance du virus dans l'organisme, un terrain génétique particulier qui favorise une réponse immunitaire inadaptée qui se prolonge, une inflammation des vaisseaux sanguins, la détérioration du système nerveux autonome qui commande la digestion et la respiration. Les chercheurs n'excluent ni le stress causé par une maladie nouvelle ni la sédentarité liée au confinement.  

Pour des information sur une séance par magnétiseur, consultez la page magnétisme.

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