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  • La synchronicité

    Faudrait-il trouver un sens aux petites coïncidences du quotidien ? Tout commence par l'histoire du scarabée Il était une fois un psychiatre, Carl Gustav Jung, qui était en consultation avec une patiente. Pendant qu'elle lui relate son rêve dans lequel elle reçoit un scarabée doré, un bruit se fait entendre sur une fenêtre : un scarabée vient de se cogner contre la vitre. Par hasard, bien que ce terme soit inapproprié, le psychiatre prend l’insecte et le dépose sur le bureau. Le psychiatre peut alors en profiter pour ouvrir dans le mental de sa patiente une dimension plus poétique et surtout symbolique de cette expérience humaine, provoquant, bien entendu, une réaction de déstabilisation émotionnelle sur sa patiente. Jung, consciemment ou inconsciemment, espérait une circonstance pour relancer sa thérapie qui stagnait, ce petit événement anodin représentant une aubaine pour le faire. Quel est ce principe ? La synchronicité est une succession de coïncidences et de signes ayant un sens pour la personne qui les voit. Si ces événements captent notre attention, alors que nous avons des milliers d'informations chaque jour, c’est parce que cette résonance particulière a en nous une utilité. Comme pour les rêves, selon notre approche, notre formation et nos opinions, nous pensons qu'ils sont chargés de sens : cela peut être simplement une manifestation de notre inconscient. Il peut aussi y avoir la transmission d'un enseignement, une validation d'une intuition, un support pour comprendre nos pensées ou nous prévenir. Par quoi se reconnaît la synchronicité ? Nous parlons de synchronicité quand il y a une répétition d'au moins deux signes, à la différence d'une simple coïncidence. Il faut également que la synchronicité suscite une émotion forte et qu'elle soit accompagnée inévitablement d'une sensation de surprise. Peut-on faire émerger un sens ? Il peut être intéressant d'en discuter avec une autre personne qui pourra rebondir sur les évènements et, ainsi, fournir parfois des clefs. Il est parfois utile de noter ces signes et ce à quoi ils renvoient. Cela permet pour certains d'avoir une vision moins restreinte. Si le sens n'est pas révélé instantanément ou du moins rapidement, le cerveau, même beaucoup plus tard, finira toujours par trouver un sens. N'a-t-on pas tendance à voir des signes là où il n’y en a pas ? Il est certain qu'une personne, qui se trouve dans une situation d'attente d’un signe afin de corroborer l’une de ces croyances, sera en mesure de trouver du sens à une information. Un exemple très simple démontre cette logique : Une personne amoureuse cherchera de multiples signes pour se sentir rassurée par la réciprocité. Ne pas confondre : « je veux que les signes me disent » avec : « qu'est-ce que me disent les signes ? » Peut-on être aveugle à ces signes ? Oui, bien entendu, et ce pour plusieurs raisons. La plus fréquente et la plus importante, c’est la peur d'être déstabilisé, de perde ses repères et de ne plus pouvoir agir de la même façon en étant changé. Il y a également le fait, lorsqu’on a été élevé dans une forme d'ignorance, d'obscurantisme, qu’il soit difficile de sentir ou ressentir des choses plus subtiles. Peut-on voir des signes là où il n’y en a pas ? Là encore, il y a plusieurs raisons. Comme expliqué plus haut, cela peut être pour prouver quelque chose, dans un but de mysticisme, pour se rassurer en trouvant des explications d'une certaine manière sur l'existence elle-même. Existe-t-il des exercices pour développer cette synchronicité ? En théorie : - il faut noter son état d'esprit pour se rappeler de l'état avant d'accueillir les signes pour être dans une bonne réceptivité ; - inscrire toutes les coïncidences, car il est évident que, plus on recherche quelque chose, plus on le trouve ; - il est également possible de regarder un film ou de lire un livre pris par hasard (si cela existe) et de chercher les points en rapport avec votre vie actuelle ; - réduire ces habitudes, car, en mode automatique, il y a réduction des perceptions. C’est ce que ne doivent pas faire ceux qui se servent des habitudes pour, au contraire, augmenter leurs perceptions. En pratique : Je vous déconseille ces exercices, car, en réalité, vous aller d'une façon ou d'une autre vous autoconditionner. Il vaut mieux rester serein, libre de penser et, le jour où vous en aurez besoin ou cela sera nécessaire, cela se produira. carbone-magnetiseur.com

  • Gants Uvex contre SARS-CoV-2

    Un nouveau modèle de gants a été créé. Ils sont conçus dans un textile HeiQ Viroblock de CHT et sont capables d'inhiber la propagation des virus et bactéries à 99,9 % en 5 minutes (garantit le fabricant). Les textiles des gants sont traités avec des particules de sel d'argent qui ont des propriétés antibactériennes et antivirales. Ces particules diminuent la capacité de reproduction des microorganismes et inhibent leur croissance. Ces particules sont combinées avec une technologie de vésicules qui détruit vélocement l'enveloppe lipidique des virus de la famille du SARS-CoV-2 (plus résistants), permettant aux sels d'argent d'agir plus rapidement et plus efficacement. Les gants sont conçus avec une doublure en polyamide et carbone sans couture pour avoir un effet « seconde peau » et peuvent être utilisés avec des écrans tactiles. Ces gants sont les modèles Phynomic silv-air (18,36 € TTC) et Phynomic silv-air grip avec en plus des micro-picots transparents aux points de contact principaux (non disponibles actuellement) du fabricant d’EPI (équipements de protection individuelle) allemand Uvex. Ils protègent les personnes contre les virus susceptibles de s'accumuler sur les mains à partir d'objets manipulés comme les chariots de supermarché et les poignées de porte. Ils s'adressent particulièrement au secteur du médical, du sport, de la logistique, de la grande distribution, de l'industrie agro-alimentaire et des transports publics. L'efficacité antivirale du traitement a été testée en Australie par le Doherty Institute de Melbourne. Ce traitement bénéficie d'une accréditation selon les normes ISO 18184:2019-06 et ISO 20743:2016. Un laboratoire externe indépendant, dont le nom n'a pas été divulgué par Uvex, a également approuvé l'efficacité. Gant uvex phynomic silv-air pour une hygiène renforcée | Gants de protection | uvex safety (uvex-heckel.fr)

  • Anticorps conjugués

    Les anticorps conjugués ne guérissent pas les patients atteints de cancer, mais ces traitements auraient obtenu des résultats encourageants dans les leucémies, le cancer du sein et les lymphomes. La ruée des labos est normale, puisque cette nouvelle classe de traitements avec un marché de 3,8 milliards € aujourd’hui doit peser plus de 20 milliards d'euros d'ici 2030. Il s'agit de molécules capables de cibler avec précision les cellules cancéreuses permettant de préserver les cellules saines et réduisant les effets secondaires liés à la chimiothérapie. Kadcyla de roche a fait plus 34 % en 2020 et pèse 1,6 milliard d'euros. Polivi a été approuvé il y a un an en Europe. La FDA (autorité sanitaire américaine) vient d’homologuer Enhertu développé par AstraZeneca et son partenaire Daiichi Sankyo. AstraZeneca veut en faire un blockbuster avec un chiffre d’affaires annuel de 4 milliards €. C'est dans cette optique qu’il a déboursé 6 milliards € pour obtenir la licence auprès du japonais. Jusqu'ici, les anticorps conjugués étaient complémentaires. Depuis peu, l'appât du gain a créé une vive concurrence avec de grosses acquisitions par exemple 17,4 milliards € en septembre 2020 pour Immunomedics par Gilead et 2,3 milliards € de MSD pour prendre VelosBio. Plus d'infos : https://www.carbone-magnetiseur.com

  • L'anticorps monoclonal d’Eli Lilly

    Fin février 2021, la France a acheté des dizaines de milliers de doses de l'anticorps du laboratoire Lilly, un traitement expérimental contre la Covid. Une autorisation temporaire d'utilisation au bamlanivimab d’Eli Lilly a été donnée en urgence. Le prix de chaque dose est compris entre 1.000 et 2.000 €. Ce traitement doit être administré en intraveineuse à l'hôpital pour les personnes immunodéprimées et les plus de 80 ans. Cet achat fait suite à la parution d’un seul essai clinique, Blaze-1, avec 465 patients, dans une étude publiée le 28 octobre 2020 et une autre étude publiée le 21 janvier 2021. Cette étude porte sur le nombre d'hospitalisation dans les différents groupes suivants : - 9 sur 156 avec placébo, soit 5,8 % ; - 1 sur 101 avec 700 mg de bamlanivimab, soit 1 % ; - 2 sur 107 avec 2.800 mg de bamlanivimab, soit 1,9 % ; - 2 sur 101 avec 7.000 mg de bamlanivimab, soit 2 %. Les auteurs reconnaissent qu'il n'y a eu aucun effet significatif sur les diminutions attendues de la charge virale qui été le premier critère d'efficacité pour limiter les symptômes et réduire le risque d'hospitalisation. Mathieu Molimard, chef du service de pharmacologie médicale au CHU de Bordeaux, rappelle : « en l'absence de décroissance virale, je ne vois pas ce que l'on peut en attendre. C'est comme construire une maison sur du sable ! ». Il a été publié un communiqué pour faire part de l’incompréhension par la Société française de pharmacologie et de thérapeutique. Un gros problème se pose sur le plan opérationnel : il faut une surveillance virologique étroite, essayer de limiter le risque de favoriser l'émergence de variants d'échappement. C'est d'ailleurs pour cette raison que la DGS (Direction générale de la santé) a expliqué, dimanche 28 février 2021, « qu'il faudrait hospitaliser les patients et les tester tous les 3 jours jusqu’à ce qu'ils soient négatifs ». La pneumo-oncologue et responsable de l'unité non Covid au Centre hospitalier Toulon Sainte Musse, Docteur Clarisse Audigier-Valette, dit : « on parle de patient qui peuvent rester positifs des semaines et qu'on va devoir hospitaliser tout ce temps pour leur administrer un traitement censé les empêcher d'aller à l'hôpital, mais qui n'a pas démontré son efficacité ». Les anticorps monoclonaux : les anticorps récupérés chez des patients guéris peuvent-ils provoquer les variants actuels ? des scientifiques y pensent. Des études sur le bamlanivimab ont montré une possible apparition de résistances virales augmentant avec l'élévation des doses administrées. C'est pour cette raison que les patients traités avec l’anticorps d’Eli Lilly doivent être mis à l'isolement et avoir un suivi virologique étroit. Yasdan Yasdampanah, directeur de l'ANRS maladies infectieuses émergentes : « nous étions frileux quant à l'utilisation de ces anticorps en monothérapie à cause ce risque d'apparition de variants. Mais nous ne les utiliserons que pendant un temps très court, le temps d'avoir accès aux bithérapies qui semblent beaucoup moins risquées ». Le risque de voir apparaître 2 mutations permettant d'échapper à 2 anticorps est en effet bien plus faible. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'il est vivement recommandé d'emporter sa propre bombe quand on prend l'avion. Le risque d’avoir 2 bombes dans le même avion est bien plus faible … Les variants brésilien et sud-africain ont la même mutation E484K qui pourrait annuler l'efficacité potentielle du bamlanivimab. C'est pour cette raison qu'il faut que le patient ne soit pas infecté par ces variants pour lui administrer l'anticorps monoclonal. Eli Lilly resterait efficace contre les variants brésilien et sud-africain avec son anticorps l'étésévimab. La monothérapie ne permet pas une réduction de la charge virale à 11 jours alors que l'association des 2 monothérapies le pourrait. Le REGN-CoV2 de Regeneron est un traitement concurrent composé de 2 anticorps dont l’un pourrait rester efficace contre les variants. Ces 2 bithérapies pourraient très prochainement être autorisées par l'agence européenne du médicament. Au stade préclinique, il y a des recherches sur des anticorps monoclonaux issues de patients infectés. D'où sont nées les rumeurs de conflit d'intérêts entre le pouvoir et le laboratoire américain ? Plus d'infos : https://www.carbone-magnetiseur.com/covid-19

  • Le magnétiseur est consulté par des femmes qui souffrent de l'absence de plaisir

    De plus en plus de femmes qui sont de plus en plus jeunes me consultent pour des souffrances liées à leur manque de désir et l’absence de plaisir (sans même parler d’orgasme). C’est pourtant si simple. Mais, on peut se délecter des infos de plus en plus nombreuses qui viennent semer la zizanie. Le dernier article vu dans version Femina Sud-Ouest de ce weekend a été la goutte d’eau. Ce qui suit est le début de mon texte qui se complétera au fur et à mesure de mes disponibilités. Lisez de manière cool, la plaisanterie doit être gentille, car tout est simple en réalité. ​ · La nouvelle répartition des tâches et des rôles dans le couple remet en question la notion traditionnelle de masculinité et certaines sociologues en profitent pour embrouiller davantage, en persuadant que « les hommes ont transféré sur le sexe et la sexualité le contrôle qu’ils avaient jusque-là exercé au sein du foyer ». Premièrement, par le passé, tous les hommes n’ont pas eu le contrôle au sein du foyer. Deuxièmement, lorsque les hommes sont féminisés, ils ont des difficultés pour exprimer leur autorité et leur autonomie surtout dans la sexualité. ​Les chiffres et l’explication de l’étude américaine sur l’orgasme · Les extraordinaires études sur l’orgasme, une étude américaine publiée en 2017… j’aimerais savoir qui a commandité cette étude. « 95 % des hommes hétérosexuels confirment atteindre l’orgasme habituellement lors d’un rapport sexuel, ce n’est le cas que pour 65 % des femmes hétérosexuelles … et 86 % des femmes lesbiennes ! Il n’y a pas de rapport sous-jacent de domination entre femmes ». ​ Premièrement, faut-il voir la promotion ou la valorisation d’une pratique par rapport à une autre ? L’étude a oublié de mentionner le pourcentage des femmes qui ont un orgasme lors d’un rapport avec moi ! 99,99 % ? bien évidemment, il n’y a aucun message indirect, il ne faut pas voir le mal partout ! Deuxièmement, on donne le pourcentage des femmes non hétérosexuelles, mais pas celui des hommes non hétérosexuels. Un simple oubli, je présume ! ​ Troisièmement, entre femmes il n’y a pas de rapport sous-jacent de domination, OK, il s'agit alors, bien sûr, de domination directe ! Sus-jacent peut-être ? ​ Quatrièmement, le pourcentage pour les hommes hétérosexuels ne différencie pas l’éjaculation de l’orgasme. Cette confusion est étonnante pour une spécialiste. Cinquièmement, la différence de pourcentages entre les femmes hétérosexuelles et les femmes lesbiennes s’explique par la mise en valeur d’une attirance, mais également, quand vous vous trouvez dans une identité sexuelle ne correspondant pas aux modèles dominants, vous vous sentez obligé de vous justifier consciemment ou pas en valorisant votre choix. Imaginez : 21 % des queers confirment atteindre l’orgasme habituellement lors d’un rapport sexuel, pas top. Nous retrouvons également le cas de valorisation et dévalorisation classique inconscient comme dans l’automobile : si vous avez une voiture de marque française sans problème avec plus de 300.000 km, vous allez quand même critiquer la marque,... En revanche, si vous avez une voiture de marque allemande qui a fait moins de 50.000 km et qui rencontre des problèmes, vous valorisez la marque. ​ Petit florilège sur le plaisir · « Depuis 2018, livres d’éducation sexuelle, sites, blogs et applis vantent les plaisirs du sexe sans pénétration, une alternative susceptible de répondre aux véritables attentes des femmes qui séduit de plus en plus la jeune génération ». Alors pourquoi tous ces articles féminins qui vantent des objets à mettre dans le vagin ? jusqu’à l’œuf de yoni qui est vraiment utile, mais pour qui ? je vous conseille de consulter mon post sur le sujet. ​ · « La notion de préliminaires préfigurant une sexualité sur le modèle du repas "entrée - plat- dessert !" prend donc un sacré coup de vieux ». Personnellement, pour moi c'est : amuse-bouche, pré entrée, entrée, premier plat, deuxième plat, fromage, pré dessert, dessert, mignardises et digestif. Quel que soit son âge, aucune femme n’a trouvé cela passé de mode ! ​ · Les « gestes bienveillants dans l’intimité » bienveillants, non, mais les gestes charnels, « sauvages », chargés de désir – de respect – d’admiration et, principalement, reconnaissant de la chance d’être avec l’autre. ​ · Pour la « charge sexuelle », vous aurez la suite plus tard si vous êtes sages ! Vous avez été sages, je vous donne la suite. Je vous parle de la charge sexuelle après d’autres charges. (1 mars 2023) Le magnétiseur espiègle explique la charge mentale et les autres J'ai rédigé ce petit texte pour expliquer les diverses charges qui sont fréquemment utilisées pour causer de la souffrance. Ceux qui me connaissent retrouveront mes tournures espiègles donc sans méchanceté. Mon unique objectif est de contribuer à construire une société universelle plus agréable. Si mon texte vous afflige ou vous agace, cela signifie que vous n'êtes pas aptes à comprendre ou que je l'ai mal formulé. En tout cas, vous devez cesser de lire, parce que vous devez, au contraire, vous sentir heureux. La « charge mentale » est la liste des choses à faire « to do list ». C'est un terme qui désigne tout ce qui doit être fait pour le bon fonctionnement du foyer en plus du travail. D'après les inventeurs de cette conception, cela serait épuisant et ne concernerait que les nouvelles générations surprotégées qui n'ont jamais eu de difficultés et qui sont le plus souvent des problématiques féminines. Ces rumeurs choquent le magnetiseur, et les raisons sont les suivantes : - Premièrement, les jeunes sont toujours parvenus à s'adapter et à prendre la relève de leurs aînés. Ils ont la chance de vivre avec moins de danger, moins de souffrance et plus d'opportunités, tant mieux, mais cela ne fait pas d'eux des incompétents. Les générations futures auront une vie encore plus agréable et pourront faire face aux divers défis ; - Deuxièmement, il est vraiment important que les personnes mal intentionnées cessent de distiller leur venin. Ce n'est pas un problème féminin, les femmes comme les hommes ont depuis toujours été en mesure de relever le défi de la survie. Naguère, les hommes travaillaient dur dans les usines et devaient cultiver une parcelle de terre, pour ce qui est des femmes, il suffit d'avoir un peu de connaissance et d'imagination pour soupçonner leurs dures réalités. Heureusement, la vie a changé, mais de nouveaux besoins, de nouvelles tâches, etc. ont remplacé les anciens. Soit, nous sommes capables de faire aussi bien que nos aïeux ; soit, nous avons l'intelligence de nous débarrasser de l'inutile et alors là… Que signifie la charge émotionnelle ? Comme un mauvais principe n'arrive jamais seul, ils ont inventé le terme « charge émotionnelle » pour créer de l'animosité entre les femmes et les hommes. Comme si seulement les femmes laissaient leurs besoins derrière ceux de leurs enfants et de leur conjoint, elles n'auraient que la préoccupation constante des autres ! Si vous êtes bon, que vous soyez une femme ou un homme, les autres passent en premier. Qu'est-ce que la charge sexuelle ? La « charge sexuelle » est le fait de gérer la sexualité du couple seul ou pratiquement seul : pour la femme, c'est faire passer souvent le plaisir de son homme avant le sien ou compter avec angoisse le nombre de jours « sans » de peur qu'il aille voir ailleurs ; pour l'homme, c'est faire passer souvent le plaisir de sa femme avant le sien ou compter avec angoisse le nombre de jours « sans » de peur qu'elle aille voir ailleurs. Pour le magnétisme, la « charge gentille » est la seule charge du début à la fin. Certains pseudos spécialistes, dans « l’embrouille du mental », empoisonnent le mental en laissant entendre qu’une femme dans un couple hétérosexuel a forcément le mauvais rôle. Dans un couple hétérosexuel, c'est obligatoirement la femme qui pense à la contraception, c’est faux. J'ai vu beaucoup d'hommes opter pour une intervention (irréversible), souvent avant d'avoir au moins un enfant. Une séparation a suivi neuf fois sur dix, la femme s'est remise avec un autre homme et a eu un ou plusieurs enfants, en ce qui concerne l'homme… Toujours dans un couple hétérosexuel, ce serait la femme qui planifie des rapports sexuels dans le cadre d'un projet d'enfant, phrase très ambiguë… La femme prendrait l'initiative du rendez-vous pour se faire dépister. Dans le passé, c'était presque toujours le cas, mais aujourd'hui, dans les nouveaux couples, les choses ont réellement changé. Libération sexuelle des femmes La fameuse libération sexuelle des femmes post-70 aurait surtout profité aux hommes. Dans les publicités équivoques, tout tourne autour de la sexualité masculine et de ses codes. Je suppose que je n'ai pas vu les mêmes pubs. Là encore, la vérité est différente. Les grands gagnants sont : les personnes sachant qu'il y a toujours de l'argent à se faire dans le sexe, la drogue et les femmes ou les hommes pervers. Les grands perdants sont : les femmes et les hommes avides de compliments ou imbus de leur personne et dépourvus de personnalité. Et il y a des femmes et des hommes qui souffrent malheureusement au point de mourir parce qu'ils ne comprennent pas ce jeu. Ils se sentent exclus, ils se trouvent différents ou ils se rendent compte trop tard qu'ils ont été manipulés. La féministe hétérosexuelle veut un conjoint qui cesserait de commenter sa pilosité ou son apparence, qui lui proposerait d'intégrer sa contraception dans le budget commun ou s'informerait sur les modes de contraception qui lui seraient proposés et qu'il accompagnerait chez ses rendez-vous médicaux. Soyons honnêtes une minute, juste pour ceux qui restent sur le bord de la route. Elle préfère réellement ce type d'homme ou elle préfère un homme qui lui garantit des heures de plaisir, tout en la valorisant grâce à son regard et ses compliments. Dans la même veine, quelques femmes sont fatiguées de se faire draguer. Cela se comprend aisément, lorsque la personne est lourde ou que les circonstances ne s'y prêtent pas. Mais en est-il de même s'il est un joueur de football riche et célèbre ? Peace and love Ne vous laissez pas faire, mais n’inversez pas la balance dans l’autre sens. Tout le monde doit être libre, véritablement libre de ses choix et de ses orientations. Femmes et hommes aimaient vous, sincèrement, vous n'avez rien à prouver. Établissez la paix. La vie est simple La vie est simple et peut être belle, nous devons : être honnête, respectueux, équilibré, avoir le vrai esprit de la famille au sens noble du terme, pratiquer l'égalité, le dialogue, de pas dispersé et croire les ragots, accepter les remarques de ceux que vous avez fait souffrir consciemment ou non, savoir exprimer vos peines et souffrances et ne pas céder aux pressions de quelques natures. Le matriarcat et le patriarcat sont dépassés. Aucun être est supérieur ou inférieur à un autre. Nous avons en réalité besoin les uns les autres. La charge gentille est la seule charge depuis le début jusqu'à la fin. Certains hommes qui veulent vivre avec une femme homosexuelle font le choix d'être transgenre. Un homme qui est devenu une femme, qui a conservé ses spermatozoïdes, pourra les utiliser lorsqu’il sera en couple avec cette autre femme.

  • Les mycoses vaginales ou la vulvovaginite et le rôle du magnétiseur avec son action.

    Dans les infections féminines les plus courantes se trouve la mycose vaginale. Parce qu’elle touche la vulve et le vagin, elle se nomme vulvovaginite. Elle toucherait une femme sur 3 au moins une fois au cours de sa vie. Qui est responsable de la mycose vaginale ? La levure : candida albicans, elle fait partie de la famille des champignons. Ce champignon fait partie intégrante de la flore microbienne normale du vagin (microbiote vaginal). La flore est constituée en grande partie de lactobacilles qui sont des bactéries protectrices (bacilles de Döderlein). Les lactobacilles ont pour rôle de limiter la prolifération des candida albicans. Lorsque leur nombre devient insuffisant (dysbiose), le candida albicans en profite. Comment reconnaît-on la vulvovaginite ? Une mycose déclenche des démangeaisons et des sensations cuisantes au niveau de la vulve. Elle provoque des pertes blanches inodores. Quels facteurs déclenchent ces mycoses vaginales ? Ces facteurs sont : · des bains trop répétés au spa, en piscine ou à la mer ; · des variations hormonales provoquées par un contraceptif ou une grossesse ; · une hygiène intime inadaptée ; · la prise d'antibiotiques. Que faire en prévention ? Ces charmants champignons aiment l'humidité et la chaleur, il ne faut surtout pas garder un maillot de bain mouillé. Il est donc nécessaire de se rincer et s'essuyer après chaque bain. Il existe en pharmacie des tampons imbibés de probiotiques à mettre avant une baignade. Le but : faire obstacle à l’eau et surtout diffuser des lactobacilles. Il est préférable de porter des sous-vêtements en coton par rapport à ceux en synthétique, ils régulent mieux la transpiration. Il faut également éviter les pantalons trop serrés, les strings et le port continu de protège slip. Pour la toilette quotidienne, il faut bannir les savons antiseptiques et les toilettes vaginales, car ils agressent le microbiote vaginal. Il suffit d'utiliser un gel nettoyant sans parfum. Comment le magnétiseur doit-il agir pour combattre la mycose vaginale ? Un magnétiseur doit supprimer l'infection, tout en rétablissant la flore vaginale. Une seule séance est nécessaire. Il ne faut pas s'inquiéter si les sensations de brûlure s’accentuent après la séance, pendant environ 24 heures. Le champignon libère des substances irritantes lors de sa destruction. Quel traitement par médicaments ? Utiliser des antifongiques sous forme d’ovules et/ou de crèmes qui sont pour certaines en automédication (éconazole, myleugyne, clotrimazole…). Lors d'une grossesse, la consultation est nécessaire. Pour une meilleure efficacité, il faut associer l’ovule qui agit sur les germes présents dans le vagin et l'application d'une crème durant 7 jours, pour traiter l'irritation de la vulve et de son pourtour. Si vous désirez une prise unique, prenez les formules à libération prolongée. Le candida albicans déteste que vous vous laviez avec un savon gynécologique à pH basique. L'action de ce savon sera également apaisante sur les démangeaisons. (Derm’Intim pH8, Myleuca, Hydralin Gyn… Si vous avez un ou plusieurs partenaires, hommes ou femmes, il n'est pas nécessaire qu'ils prennent un traitement, puisque ce n'est pas sexuellement transmissible, sauf s’ils présentent également une irritation. La mycose vaginale peut-elle récidiver ? Si, après chaque prise d'un antibiotique, il y a systématiquement une crise, il faut utiliser à titre préventive un ovule antifongique au cours de toute antibiothérapie. À partir de 2 ou 3 épisodes par an, il faut rechercher si cela est dû à une baisse d'immunité liée par exemple à une corticothérapie prolongée ou un diabète mal équilibré… Dans tous les cas, avant toute chose, il faut rééquilibrer le microbiote vaginal avec des lactobacilles. Les probiotiques doivent être pris pendant 6 mois et leur administration peut se faire soit par voie vaginale soit par voie orale. La voie vaginale donnerait souvent de meilleurs résultats et nécessite quelques jours par mois après les règles. Les rapports sexuels sont-ils possibles durant la mycose ? Si le rapport sexuel reste possible, il risque néanmoins d'être douloureux. Il ne faut pas omettre que les composants des traitements antifongiques peuvent détériorer les préservatifs en latex.

  • Vacciner les garçons contre le HPV

    Certains HPV sont responsables de 6.300 cancers en France. Les hommes représentent 1/4 des cancers associés à une infection HPV. Les cancers les plus fréquents pour eux sont d’abord d’ordre ORL puis concernent l’anus et le pénis. C'est l'argument avancée, en 2019, par la Haute Autorité de santé (HAS) pour justifier l'élargissement de la vaccination des garçons âgés de 11 à 14 ans avec un rattrapage possible jusqu’à 19 ans. Selon le comité d'experts : « Les données sont encore insuffisantes, mais suggèrent une probable efficacité du vaccin Gardasil au niveau de la sphère ORL. Il a de plus prouvé son efficacité clinique chez les hommes en prévention des lésions dues aux génotypes vaccinaux : verrues anogénitales 89,9 % et lésions précancéreuses de l'anus. » L'intérêt de cibler tous les garçons est d'éviter toute stigmatisation par rapport à leur orientation sexuelle. Lorsqu'une fille ou un garçon entre dans l'adolescence, on considère aujourd’hui comme légitime de se préoccuper de son éducation sexuelle et d'essayer de lui inculquer des notions de prévention. Bien que je comprenne l'intérêt des parents d’infantiliser leurs enfants pour les garder sous sa dépendance, je ne pense pas que, à leur âge, ils soient plus nuls que nous au niveau sexuel. Il est en réalité illogique de s'occuper de la sexualité de ses enfants de même que les enfants n'ont pas à s'occuper de la sexualité de leurs parents. Cependant, il est amusant d’essayer d'inculquer des notions de prévention. Depuis la nuit des temps, on n'a pas essayé, mais on a réussi et il ne s'agissait pas de notions, mais d’informations globales dans tous les domaines. La vaccination contre le papillomavirus humain (HPV) est inscrite au calendrier vaccinal pour les jeunes filles depuis 2008 et pour les jeunes garçons depuis 2020. Le vaccin est recommandé, depuis 2017, pour les homosexuels jusqu’à 26 ans. La vaccination est réalisée avec 2 doses de Gardasil 9 pris en charge par la CSG. Il y a une trentaine de pays qui conseillent cette vaccination aux jeunes des deux sexes. Certaines personnes estiment que 70 % des êtres humains sexuellement actifs (il n’est pas précisé si l’on est considérés actifs à partir d’une fois par heure ou plus d’une fois) auront affaire au HPV au moins une fois dans leur vie. Il est également admis que le risque qu'une personne infectée contamine son ou ses partenaires est de 60 %. Très malheureusement, il n'y a aucune précision de pourcentage avec des animaux ! Il est en revanche certain que, dans la grande majorité des cas, l'organisme parvient à éliminer le virus. De plus, avoir un papillomavirus n'est pas pathologique en soi. Si le papillomavirus rentre dans la cellule, il en modifie le génome pour la déréguler et donner ainsi des lésions précancéreuses. Il aura d'autant plus d'opportunités à entrer dans la cellule qu'il y restera longtemps. Le tabagisme, ainsi qu'une faible immunité favorise les infections. 40 est le nombre de HPV pouvant se propager par contact sexuel direct. 2 sont responsables des verrues génitales (condylomes) et ne sont pas malignes. Les HPV génèrent des cancers du col de l'utérus (44 %), de l’anus (24 %), de l’oropharynx (22 %), du larynx, de la vulve, du vagin et du pénis. Le vaccin Gardasil 9 a remplacé Cervarix et Gardasil 4 après que certaines jeunes filles ont développé des maladies auto-immunes : syndrome de Guillain-Barré, sclérose en plaques ou Mici. L'Agence Nationale de sécurité du médicament (ANSM) n’a retenu, en 2015, qu'un risque accru de développer un syndrome de Guillain-Barré, mais elle a écarté tout lien avec la sclérose en plaques ou des Mici. La marge d'inefficacité du vaccin Gardasil 9 serait de 10 %.

  • La ménopause et le magnétiseur

    La ménopause n'est pas une pathologie, c'est juste une autre étape de la vie. J’ai donné une précision le 8 février2022. Depuis mes différents articles, commentaires et surtout mon dernier post dans mon blog les choses ont l'air de vouloir changer au sujet de la ménopause. Serait-ce enfin la fin d'un tabou ? Toutefois, si la société commence à changer son regard sur cette transition hormonale, il ne faudrait surtout pas que des marques de cosmétiques s'emparent du sujet à leur profit. Si des laboratoires le faisaient, ils dénatureraient mon propos. Les femmes devraient être préparées à ce changement. Elles vivent souvent cet événement dans la solitude et une forme de honte. Plus de 40 % des femmes ménopausées ou prés-ménopausées ont déjà entendu des sarcasmes à ce sujet. L’un des préjugés les plus courants est : « c’est sa ménopause qui la travaille » en miroir de « elle a ses règles ». La ménopause n'est pas une honte Ce pourrait être presque vu comme amusant, mais en réalité cela est affligeant : en 2021 parler des règles, la contraception, comment faire une ********* et autres détails … est normal, en revanche parler de la fin des menstruations est toujours un tabou. Les femmes plus ou moins célèbres ont parfois envie de parler des violences sexuelles qu'elles ont subies, Jusqu’à donner des détails. Mais aucune n'aura envie d’évoquer sa ménopause, car dans l’imaginaire cela signifie qu'elles ne sont plus attirantes, qu'elles sont vieilles, en un mot, elles sont bonnes à être mise au rancart. En 1800, la médecine moderne prescrivait des saignées ou l’imposition de sangsues pour traiter cette rétention sanguine considérée comme morbide. Ne pas confondre l'imposition de sangsues avec l'imposition des mains du magnétiseur. Au fil des siècles, cet événement tout à fait naturel fut de plus en plus considéré d’une façon très négative et comme un vieillissement féminin. La conception pathologique de la ménopause était née. Il serait temps de comprendre que la ménopause est une étape naturelle dans la vie des femmes et non un problème. Cette conception profite peut-être à certains. Vivre sa ménopause Il est pourtant certain que ce moment passera beaucoup plus facilement voire très facilement si on ne l’appréhende pas comme une période problématique. La manière donc on va vivre la fin des menstruations aura un grand rôle dans les perceptions vécues. Malheureusement, il est évident qu’à notre époque, il est plus difficile de vivre sa ménopause en étant cadre parce qu'elle peut miner l'autorité ou susciter des moqueries. Alors qu’à la campagne cet événement est prix avec plus de détachement. La sécheresse vaginale n’est pas une obligation pour les femmes à cette période de leur existence. Elle est seulement due à un manque de désir. C'est pour cette raison que les femmes qui commencent une nouvelle histoire après 50 ans n’ont pas ce symptôme, la biologie est finalement moins forte que le désir. Un dernier point très important : certaines femmes propagent le concept d’andropause pour les hommes dans un esprit de fausse égalité. Cette idée commerciale, imaginée à la fin du millénaire dernier, fut un flop. Mais tout arrive à point … en infiltrant subrepticement … ces bons commerciaux arrivent à refaire germer la notion d’andropause. Par pitié, mesdames mettez les plateaux de la balance en équilibre. Ce n’est pas une maladie pour les femmes, ce n’est pas une maladie pour les hommes et nous sommes égaux. Ce n’est pas parce que la ménopause n'est pas une maladie et ne doit plus être un tabou que l’andropause doit prendre sa place en devenant une maladie. Apports en œstrogènes D'après le docteur Philippe Gorny dans le numéro 3780 de Paris Match, il y aurait en France 12 millions de femmes ménopausées et 450.000 nouvelles chaque année. Il regrette que 600.000 seulement prennent un traitement hormonal (THM). L'âge moyen de la ménopause naturelle qui représente l'arrêt de la production ovarienne d'œstrogènes et de progestérone est de 51 ans. Il pense que la ménopause favorise les maladies cardiovasculaires, l'ostéoporose, la survenue de troubles cognitifs, de l'humeur, parfois de la dépression, des troubles du sommeil, une prise de poids, une baisse de la libido et de la sexualité (sécheresse vaginale), un vieillissement de tous les tissus cutanéo-muqueux. Il faut faire des apports en œstrogènes, mais comme il y a un risque sur la santé, pour les minimiser, il faut : 1) ne pas oublier qu'il est contre-indiqué d’en donner en cas de cancers hormonaux dépendants et de certaines maladies thromboemboliques ; 2) proposer et non imposer ce traitement de la ménopause qu’après un bilan complet, en particulier une mammographie et un scanner coronaire, surtout chez la tabagique ; 3) privilégier la voie cutanée (patch, gel) à la voie orale qui elle, apparemment, n'augmenterait pas le risque d'accidents thromboemboliques ; 4) utiliser la dose efficace la plus petite, les œstrogènes européens (œstradiol minidosé) ont le plus long recul scientifique et seraient les plus sûrs ; 5) associer la progestérone par voie orale ou vaginale serait utile pour protéger l'utérus, particulièrement du cancer de l'endomètre. Les œstrogènes seuls seraient suffisants en cas d'absence d'utérus ; 6) la progestérone doit être naturelle, car celle de synthèse est à risque vasculaire ; de plus, elle peut favoriser l'apparition d'un cancer du sein ; 7) le traitement THM ne doit pas être administré pendant plus de 7 à 10 ans, car il est nuisible ! Le risque du traitement par la THM donne l’obligation d’une surveillance régulière au moins annuelle (jusqu'à l'âge de 65 ans) pouvant permettre la révélation plus précoce d'un cancer du sein. Il devrait permettre une réduction du cancer du côlon, une protection contre les risques d'athérosclérose, une amélioration des profils glucidiques et lipidiques sans prise de poids. Il combattrait efficacement l'ostéoporose ainsi que les troubles cognitifs et de la mémoire et préserverait la vie sexuelle. Étude sur les traitements En 2002, une grande étude américaine pour prouver les bienfaits des traitements de substitution et faire taire ceux qui critiquaient ces traitements pour cette fausse maladie a été interrompue prématurément au bout de 3 ans au lieu de 6 en raison d'un nombre accru d'accidents cardiovasculaires et de cancers du sein entre autres. Cela commença à déclencher une perte faramineuse des laboratoires. Les laboratoires déclenchèrent une étude anglaise sur 3 ans expliquant que Les Américains ne réagissaient pas de la même manière que les Européens. Cette étude fut arrêtée au bout d'un an et demi. En désespoir de cause, il fut dit que Les Européennes nordiques étaient différentes aux Anglaises de type américaines. Une étude fut déclenchée dans l'Europe du Nord qui fut arrêtée au bout de quelques mois pour toujours les mêmes raisons : des chiffres catastrophiques. Les années ont passé, de très nombreux repas amicaux invitant les gynécologues furent instaurés avec prise de parole de spécialistes qui auraient été payés jusqu'à 1.500€ par jour. Et le commerce a pu reprendre gentiment, étayé par d'autres études utilisant des femmes choisies à bon escient.

  • Le magnétiseur doit venir en aide aux autistes dès leur jeune âge

    En 45 ans, l’on m'a trop rarement demandé mon aide pour l'autisme. Cela est fort dommage, mon aide est pourtant très rapide. Je connais 2 de leurs plus grandes sources de conflit : une surdimension des perceptions et la capacité de voir et de ressentir les échanges de flux, ainsi que les diverses vibrations et autres entités. Je n'agis que sur les enfants, pour les adultes se pose la question de savoir si le changement d'existence leur serait profitable ou non. L’histoire du syndrome qui sera plus tard appelé autisme : Nous sommes en 1938, Il est demandé à un enfant de soustraire 4 de 10, l'enfant répond : « je vais dessiner un hexagone ». Si cette anecdote est vraie, il faut se poser la question : comment se fait-il qu’à cet âge-là ce jeune enfant connaisse déjà ce terme ? Il est aussi ridicule de croire que les autistes sont tous d’une intelligence supérieure que de croire qu'ils sont moins intelligents. Pour eux comme pour les autres enfants, tout vient du temps qu'on passe à les éduquer. L'expérience luxembourgeoise avec ces enfants traités monstrueusement a bien démontré qu'à l'inverse on pouvait aussi les rendre complètement idiots, en ne s'occupant absolument pas d’eux. Donald Grey Triplett sait fredonner et chanter de nombreux airs dès l’âge de 1 an. Pour ses 2 ans, il répète 25 questions-réponses du catéchisme presbytérien et le 23e psaume. À l’âge de 3 ans, il est confié à une institution pour qu’il change d’environnement. Pour ses 5 ans, il rencontre le docteur Leo Kanner qui est un pédopsychiatre de l'hôpital Johns-Hopkins à Baltimore. L’enfant est capable de réciter l’alphabet dans les deux sens et compte jusqu'à 100, mais il vit dans une sphère invisible. Il est indifférent aux autres enfants, il ne remarque pas l'absence de son père et il ne réclame jamais les bras de sa mère, d'ailleurs les contacts physiques comme les bruits ou les objets en mouvement sont ignorés ou source de souffrance avec de violentes colères. En contrepartie, il est prisonnier de rituels strictement identiques. Quelle est la différence entre autiste et schizophrène ? Le pédopsychiatre sur le dossier de Donald : « Schizophrénie ? », quelque chose l'interpelle, il va commencer par l’observer pendant 15 jours, puis il va le revoir à 3 reprises les années suivantes, Il est toujours incapable d'avoir un diagnostic sans équivoque et clair, il s'en excusera dans un courrier. Alfred, Barbara, Charles, Donald, Elaine, Frederick, Herbert, John, Paul, Richard et Virginia sont les enfants âgés de 2 à 8 ans étudiés également pour des comportements qui ont l'apparence de phénomènes schizophréniques de base. Toutefois, il y a une différence de taille, la schizophrénie se développe peu à peu, alors que pour ces enfants les symptômes ont débuté dès le début de leur existence. La réalisation des tests est difficile par leur manque d'intérêt pour la conversation. En tant que magnetiseur, je trouve regrettable de les prendre pour des faibles d'esprit. Dans les temps anciens, les enfants avec de telles prédispositions jouaient un rôle important dans les rituels de magnétisme et de prêtresses. Ces enfants souffrent d’une incapacité à entrer en relation d'une façon habituelle avec les personnes et les situations depuis le premier jour avec un besoin obsessionnel de conserver l'immuabilité. La perturbation autistique contre le syndrome Asperger : Ce syndrome unique n’avait jamais été reporté jusque-là et il est dénommé par Kanner « perturbation autistique du contact affectif ». Il a l'idée de cette dénomination par comparaison au terme autisme du pédopsychiatre allemand Hans Asperger qui avait lui-même emprunté ce terme à Eugen Bleuler, un psychiatre suisse qui s'en servait pour décrire la perte de contact avec la réalité des personnes souffrant de schizophrénie. Une fois devenue une maladie à part entière, elle sera nommée : autisme infantile précoce. Il est remarqué que ces enfants souffrent d’un manque d'amour de leurs parents. La psychanalyse a entretenu l'idée d'une défaillance maternelle pendant de nombreuses années. Ses enfants venaient tous de familles d’intellectuelles. En 1971, Il est fait état que, sur les 11 cas décrits, seulement 2 enfants ont réussi à s'en sortir. Il s'agit de Frederick et de Donald qui ont la chance de grandir auprès de leurs proches, contrairement aux autres enfants dont l'admission à l'hôpital correspond à une condamnation à perpétuité. Ils n'ont pu aller à l'école, exercer un métier et s'insérer dans la communauté. Pour se donner bonne conscience, l'on peut toujours se dire que nul ne sait ce que les autres auraient pu devenir s'ils avaient été traités différemment. Il est évident que 11 cas sont loin d'être suffisants pour permettre des statistiques, mais donnent déjà une approche globale. En 1970, la mère de Donald avait toujours le regret de ne pas savoir ce que ressentait réellement son fils. Une fois de plus d'une certaine indifférence, nous sommes tombés dans l'excès. Aujourd’hui, nous voyons de l’autisme partout, des adultes de 60 ans sont déclarés autistes. Il paraît curieux qu’il faille être dans les années 1930 pour que les premiers cas se présentent, en 1936, nous ne trouvons que 11 cas, et aujourd'hui ?

  • Les inhibiteurs de la pompe à protons ou IPP et le magnétiseur

    Les inhibiteurs de la pompe à protons ou IPP (oméprazole, lansoprazole, ésoméprazole, rabéprazole ou pantoprazole) sont consommés par 16 millions de Français chaque année pour tempérer les sécrétions acides de l'estomac. « Ils ne créent pas d'accoutumance, ne coûtent pas trop cher, présentent peu d'effets secondaires et affichent un service médical rendu élevé, soit 65 %. » Le professeur Pierre Cochât (président de la commission de la transparence de la Haute Autorité de santé : « il s'agit d'excellents médicaments, comme il en existe peu. » Ils ont des indications précises de prescription : en cas d'ulcère gastroduodénal dont la lésion superficielle est au niveau de la paroi de l'estomac ou de la première partie de l'intestin, de reflux gastro-œsophagien (RGO) lorsque les secrétions acides de l'estomac causent gêne et brûlures en remontant dans l'œsophage et en prévention des lésions qui pourraient se produire par utilisation d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS). Pourquoi les IPP se retrouvent-ils néanmoins dans le collimateur des instances sanitaires ? Selon 2 enquêtes de l'agence du médicament en 2015 et de l'assurance maladie en 2019 : ils feraient l'objet de prescriptions trop longues ou injustifiées dans 40 à 80 % des cas. La HAS a décidé d'en promouvoir un meilleur usage. La prise d’IPP n'est pas justifiée dans un nombre croissant de cas. Près de 80 % des patients n’ayant pas de facteurs de risque se voient, lors de la prescription d’un AINS (anti-inflammatoires non stéroïdien), prescrire un IPP pour prévenir le risque d'ulcère gastroduodénal. La durée de prescription dans le traitement du RGO (reflux gastro-œsophagien) est souvent trop longue. Elle devrait être réévaluée avant 8 semaines. Il faut réévaluer l'intérêt du médicament au bout de 4 semaines avec éventuellement une fibroscopie pour confirmer le diagnostic de RGO. Autre erreur fréquente, ces médicaments sont trop donnés aux jeunes enfants (ils n'ont pas besoin IPP en cas de régurgitation non compliquée) et aux personnes âgées (elles courent le risque d’interactions médicamenteuses et d'effets indésirables, car elles prennent souvent plusieurs autres médicaments et sont souvent fragiles). Des études aux résultats contradictoires ont fait apparaître un risque de problèmes cardio-vasculaires, de carences vitaminiques, d'insuffisance rénale et d'ostéoporose. Le risque avéré, mais faible, est celui des infections intestinales. La Haute Autorité de santé a décidé de sensibiliser sur l'énorme volume de prescriptions inutiles à l'aide d'une campagne : - auprès des pharmaciens qui traitent les ordonnances et qui conseillent les personnes qui achètent des IPP en vente libre ; - auprès des médecins dont les plus grands prescripteurs sont les cardiologues qui ont peur des irritations gastriques liées au traitement anticoagulant. Sont également concernés les urgentistes, les rhumatologues pour accompagner les AINS et les médecins généralistes ; - auprès des patients pour qu'ils discutent sur le sujet « pourquoi je prends ce médicament ? » avec leurs médecins. Il est important de mieux les prescrire en première intention. Même si ces médicaments sont bien tolérés, leur renouvellement devrait faire poser davantage de questions. Il faut expliquer au patient que si ce traitement a un début, il a également une fin. Faut-il accompagner le patient lors de l’arrêt des IPP ? Oui, l’arrêt des IPP, après les avoir pris en continu, déclenche un rebond d'acidité qui peut apparaître pendant un à deux mois. Le temps nécessaire pour que les sécrétions gastriques se rééquilibrent. Il est primordial de prévenir le patient et de lui donner des informations pour s'en prémunir. Il serait dommage de faire l’impasse du magnétiseur. Dans l'alimentation, pas de choses irritantes ou grasses. Ne pas s'allonger après avoir mangé, faire de l'exercice pour accélérer la vidange gastrique, éviter de fumer et, dans le cadre d'un surpoids, il est utile d'alléger la pression abdominale en perdant du poids. Les bons commerciaux demandent : « qui n'a jamais ressenti des brûlures à l’œsophage, éventuellement accompagnées d'une remontée acide après un repas copieux ? » et, ils rajoutent : « tout le monde peut faire cette expérience désagréable. » Ils n’oublient pas de saupoudrer de l’arme ultime « risque de cancer de l’œsophage. » Ces deux phrases font partie d’une technique commerciale aboutie, mais elles sont inexactes, seulement 6 % des adultes sont touchés par le reflux gastro-œsophagien et le saupoudrage est abject. Les remontées acides sont simplifiées par la pression négative dans l’œsophage et la pression positive dans l’estomac contenant l’acide qui collabore à la digestion, le magnétisme doit équilibrer ces pressions. Deux anneaux musculaires se contractent pour que l’acide gastrique et la nourriture ne se dirigent pas vers la bouche. Ces deux sphincters sont à chaque extrémité de l’œsophage, ils sont de véritables clapets anti-reflux. Le magnétiseur intervient sur leurs bons fonctionnements, son rôle est d’éviter de la toux journalière ou toute autre toux chronique énigmatique. Le guérisseur peut éviter les sensations de brûlure derrière le sternum, dans l’œsophage, dans le pharynx ou l’estomac. Il supprime les douleurs thoraciques, les soucis d’enrouement, de pharyngite ou de laryngite et la sensation au niveau de la gorge d’un corps étranger. Le RGO est en partie mécanique. Avant l’âge mûr, il peut se produire que les sphincters œsophagiens ne conservent pas efficacement l’acidité à l’intérieur de l’estomac. Ils ne sont pas encore infaillibles. Le RGO peut être consécutif à des prises de médicaments pour l’asthme, des troubles cardiovasculaires, progestérone ou aspirine. Cela résulte parfois d’une obésité qui amplifie la pression sur l’abdomen. Il peut survenir à la suite d’une mauvaise habitude alimentaire. Une femme enceinte peut ressentir ces désagréments. Le RGO est fréquemment l’œuvre d’un déséquilibre énergétique. Est-ce la raison des bons résultats du magnétiseur ? Certaines personnes diront non, pour elles, il s’agit d’une maladie psychosomatique. Pourtant, il y a perturbation du magnétisme. Certes, des désordres alimentaires vus précédemment sont à corriger. Les inhibiteurs de la pompe à protons seraient prescrits à tort dans la moitié des ordonnances. Les médecins et les patients ont une orientation à impartir divers symptômes au reflux gastro-œsophagien. Cinq molécules sont disponibles pour les IPP, l’oméprazole réduit la sécrétion gastrique acide en négligeant la cause. Il est destiné aux patients excédés d’acidités douloureuses, récurrentes et continues. Il permettrait de soulager 65 % des patients et de cicatriser momentanément 89 % des cas. Les risques de la prise des IPP sont fractures osseuses, atteinte rénale, diverses infections bactériennes et des cancers gastro-intestinaux à la place du risque de cancer de l’œsophage. Pourquoi faut-il réfléchir avant d'envisager l'intervention chirurgicale pour recréer une valve anti-reflux ? L'on envisage une opération lors de l'échec des IPP, mais, l'intervention n'améliorera pas les symptômes qui résistent aux IPP, ils ne sont pas liés au processus d'un reflux gastro-œsophagien.

  • Bactérie et Super Virus Bactériophages

    Comment recueillir maintenant ces super virus ? Depuis que les stocks de virus mangeurs de bactéries ont été détruits par Pasteur, il faut maintenant s'en procurer d'une manière très bucolique : dans les égouts, l'on collecte un liquide, de couleur Indéfinissable dans les tons de brun, provenant entre autres des w.-c... Après traitement, il devient un liquide transparent, à base de sodium contenant 30 milliards de bactériophages, injectable par seringue directement dans l’os ou dans l'articulation infectée. Sur 22 patients souffrant d'infections osseuses traités avec des bactériophages, 14 ont été guéris et n'ont pas eu de récidive de la bactérie incriminée, mais 5 ont été surinfectés par d'autres germes et 3 sont décédés d'autres maladies. Le magnétiseur informe qu'une énorme crise sanitaire se prépare L'organisation mondiale de la santé (OMS) a placé dans ses priorités la recherche de nouveaux traitements contre 2 autres bactéries : pseudomonas aeruginosa et Escherichia coli. De plus en plus de bactéries ne répondent plus aux antibiotiques, elles acquièrent des résistances. Depuis 2015, le fait que dans moins de 30 ans les bactéries antibiorésistantes seront la première cause de mortalité dans le monde, avec une estimation de 10 millions de morts par an. D'ores et déjà en France 10.000 à 12.500 décès en sont liées. Les bactériophages Le magnétiseur explique les bactériophages, ils ont un système d'encrage permettant leurs fixations sur les bactéries pour les détruire. Ils sont partout dans notre tube digestif et dans la nature, aussi bien dans les neiges éternelles que dans les déserts. D’un point de vue réglementaire, dans l'arsenal thérapeutique français, ces agents biologiques que sont les virus tueurs de bactéries n'existent pas : ni tissus biologiques, ni vaccins, ni médicaments. Il faut utiliser les bactériophages uniquement lorsque les antibiotiques, quels qu'ils soient, ont échoué : dans le cas d’une situation grave, urgente ou lorsque l’on se retrouve dans une impasse. L'idée de se servir de ces virus n'est pas nouvelle. En 1917, Félix Hérelle découvre ces prédateurs naturels des bactéries. Comme les bactéries, ils existeraient depuis des milliards d'années. Le marché formidable des antibiotiques a fait abandonner l'idée de les utiliser. En 1931 : Alexander Fleming, alors qu’il vient à peine de découvrir la pénicilline, mène un essai thérapeutique en Inde contre une épidémie de choléra. Ses résultats sont les suivants : 5 décès chez les 73 patients traités par ses phages contre 90 % de mortalité parmi les 118 malades du groupe contrôle. Dans les années 1980, les Instituts Pasteur de Paris et de Lyon ont abandonné leurs collections de phages. En 2016 : l'agence du médicament en France a réuni un comité scientifique pour déterminer les situations cliniques pouvant justifier un accès précoce aux bactériophages. Phagoburn : étude réalisée et publiée en janvier 2019. Elle portait sur les grands brûlés et s'avère plutôt décevante. Dans certains cas d’infections osseuses profondes résistantes aux antibiotiques, la phagothérapie a parfois permis d'éviter une amputation et d’obtenir la cicatrisation d’une plaie qui suppurait depuis plusieurs mois. Ces cas restent toutefois exceptionnels. D'après une théorie développée par le Pr Shah Faruque en 2005, lorsque les phages perdent des batailles contre les bactéries, les épidémies font leur apparition. Les phages prédateurs des Vibrio cholerae 01 et 0139 (souches bactériennes virulentes dans les épidémies de choléra) se multiplient et finissent par être assez nombreux pour mettre fin à l’épidémie. https://www.proxibienetre.fr

  • Les magnétiseurs sont complémentaires

    Les connaissances médicales modernes, les traitements dispensés par les médecins, chirurgiens et les magnétiseurs sont complémentaires. Les uns et les autres utilisent leurs méthodes pour être utiles. La médecine ancienne a rejeté le magnétisme. Actuellement, les mentalités évoluent, même si des indécrottables pensent à l’effet placebo et vont jusqu’à accuser de simulation ou de débilité psychologique les incurables améliorés par le magnétiseur. Que vous soyez convaincu ou non, vous savez que le regard est pesant, pénétrant ou réconfortant ; la voix angoissante, déplaisante, sécurisante ou séduisante, le geste menaçant ou calmant. Vous êtes susceptible de bénéficier du fluide magnétique. Le magnétiseur agit pour le corps physique comme pour le corps émotionnel, sans oublier le mental Quelle que soit votre demande, vous aurez une réponse dans l'offre de service complète du magnétiseur guérisseur. La pratique du magnétisme, quelle que soit sa forme, permet de répondre de manière positive à toutes les demandes. Une fois que le problème sera résolu, vous retrouverez une qualité de vie. Le corps est envahi par la joie qui chasse les pensées sombres. Le bonheur, en surplus, sort de vous et pénètre les autres. Vous devenez le centre d'un magnétisme aimant. Il est dommage de ne pas utiliser ce que la nature offre. Cette énergie de vie ne peut que vous aider. La pratique du magnétisme pendant plus de 45 ans exige un art au service des autres. Celui-ci doit être respectueux de l'énergie réparatrice et de son utilisation, c’est le meilleur, au détriment de son existence et de ses proches. Afin d'assurer l'efficacité du transfert de magnétisme, il est crucial de cultiver la compassion et la bienveillance entre la personne magnétisée et le magnétiseur. Le respect et l'amour universel réciproque peuvent être à l'origine de ces émotions. Les vibrations sont transmises sans difficulté et avec douceur pour effectuer le travail attendu. Une nouvelle fois, l'harmonie est le maître mot, les souffrances s'évanouissent et la vitalité revient. Si vous ne pouvez pas vous déplacer, le magnétisme à distance sera d'une grande utilité pour vous. Il est indéniable qu'il est préférable de consulter le magnétiseur à distance en personne, c'est un événement hors du commun. Cependant, lors de séances à distance, vous ressentirez parfois de curieuses sensations et des changements qui se produiront. Mais, ce qui compte le plus, n'est-ce pas le progrès que vous ressentirez ? Vous avez une question ou une demande d'aide ? Ne vous perturbez pas pour la poser ou la faire. J'espère que vous prenez le temps de lire ces lignes uniquement par curiosité. Dans l'éventualité où cela ne serait pas le cas, je suis là pour vous et je vous répondrai rapidement, dans la mesure du possible. Nous utilisons seulement 10 % de notre capacité cérébrale et 10 % de notre ADN. Lorsque nous sommes en bonne santé, nous ne puisons pas dans ces réserves. Dans le cas inverse, l’activation de cette deuxième voie physiologique augmente les capacités du corps. Ainsi, la stimulation du magnétiseur d’un point connecté à tel organe du corps conduit à une cascade de réactions physiologiques qui met en fonctionnement une zone spécifique dans le cerveau. Le magnétisme est, en autres, un moyen d’activer les forces de défenses et de compensations qui existent en nous. Notre capital n’est pas figé. La force du magnétiseur est de pouvoir agir de l’intérieur pour activer le fonctionnement du système nerveux, du métabolisme, des glandes, aider l’organisme à s’adapter à la multiplicité des situations rencontrées : psychologiques, physiologiques, climatiques, infectieuses… Le cœur génère un incroyable champ magnétique. C’est une pompe électrique qui propulse le sang à travers les vaisseaux sanguins. C’est aussi une des sources électromagnétiques de l’organisme. Le magnétisme permet une prise de conscience et vous accompagne sur la voie du changement. À votre écoute Le magnétisme est une énergie généreuse et d’une redoutable efficacité. Pour ceux qui ne connaissent pas les magnétiseurs, il est parfois difficile d'éviter les préjugés. Il est vraiment regrettable de ne pas saisir la chance de bénéficier du bien-être que cette merveilleuse énergie peut vous apporter. Si vous cherchez à vous distraire, vous pouvez vous rendre chez un petit magnétiseur. Mais il ne faut jamais confondre l'énergie électrique d'une dynamo de vélo avec une centrale. Le véritable magnétiseur peut jouer un rôle important dans votre vie et celle de vos proches. Il est primordial de ne pas oublier nos amis les animaux. Grâce à lui, vous retrouvez la sérénité et vous vivez une vie plus lumineuse. Son action n’a que la limite que vous lui donnez et vos demandes seront ses frontières. Depuis fort longtemps déjà, nous avons connaissance que les fluctuations du champ d'énergie sont liées au mental et à sa stabilité psychologique. L'énergie magnétique permet de rétablir les fonctions et de supprimer les manifestations de symptômes psychosomatiques, mais pas uniquement. Souvent, lorsque nous ne trouvons pas de solution, il est aisé de croire que c'est un problème psychologique, mais il en est malheureusement tout autre. La puissance du magnétiseur doit s'exercer sur le champ électrique qui évolue autour du corps humain, avec une grande complexité. Vous plongez dans un monde d'énergie où votre corps vibrant et irradié par le magnétisme se transforme et refonctionne avec harmonie. En tenant compte de mes compétences, je vous recommande de me solliciter pour des problèmes importants. Je vous souhaite de merveilleuses expériences. Leurs missions Pour simplifier, nous pouvons dire qu'il y a 3 axes où l'utilité du magnétiseur est importante : veilleur de l'équilibre, conservateur du bon fonctionnement et solveur des dysfonctionnements. Les anomalies et les défaillances du corps physique, psychique, émotionnel ou mental doivent trouver une réponse. Il est judicieux de consulter un énergéticien (apparemment, c’est un terme qui semble moins péjoratif) dès l'apparition des symptômes. Ce choix facilite grandement le travail du magnétiseur, vous évite bien des désagréments et permet des économies. Aujourd'hui, les dés sont pipés. Il semble plus judicieux, rationnel et économique de perdre du temps et prendre des risques. Malgré tout, il y a des perdants lorsque l'on joue à la roulette russe. Et, curieusement, l’on considère comme plus judicieux le recours à la bombe atomique avant le soin de la diplomatie. L'unique avantage pour le professionnel est son mérite, qui se trouve grandi et que l'on ne peut pas évoquer au hasard. Le terme gardien du bon fonctionnement fait référence à la capacité de maintenir un fonctionnement optimal et de prévoir les éventuels problèmes. Autrefois, les individus avaient recours au guérisseur par magnétisme afin de maintenir un bon état de santé de leur corps. Il y avait deux raisons à cela : la première était qu'elles ne pouvaient pas se permettre de cesser de travailler. La deuxième, elles étaient plus proches de la « nature », au sens noble du terme. Il est regrettable de ne plus anticiper dans ce domaine comme dans les autres. En revanche, des méthodes de pays lointains essayent de prendre cette place qui se trouve libre peut-être par manque de professionnalisme des magnétiseurs. Il est désespérant de voir des pseudos pratiques qui refont surface alors qu'elles ont brillé par leurs manques d'efficacité, leurs pratiques contre nature et la disparition d'espèces animales. Le protecteur de l'équilibre signifie que le magnétisme exerce son influence sur cette fine membrane qui sépare les différents plans. Lorsqu'une déchirure se produit, un déséquilibre s'ensuit. La cohabitation d'une harmonie et d'une discordance est impossible. Il ne peut y avoir de santé là où exercent les souffrances, les peurs, les perversités, la jalousie, etc. Le cerveau humain est rarement préparé à percevoir les autres plans. En outre, ce sont les émanations néfastes qui se glissent en premier à travers les brèches. Désormais, vous avez le bon réflexe pour les petits maux du quotidien ou pour trouver une solution là où tout le monde a échoué. Et, dans des cas de figure inhabituels.

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